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Le nouveau startup studio Greenpact lève 1,5 millions d'euros et réunit 30 entrepreneurs engagés

Greenpact, nouveau startup studio dédié aux transitions écologiques co-fondé par Waoup et 30 entrepreneurs engagés, boucle une première levée de fonds de 1,5 millions d’euros pour financer le lancement de son activité. Son but : construire une fabrique d’entreprises dans les énergies renouvelables, la mobilité propre, l’écoconstruction et l’agriculture durable.

Engagé pour les transitions écologiques, Greenpact est entrepreneur de ses propres projets internes et co- entrepreneur de projets externes avec des entreprises, des startups et des labos. Son quotidien est d’initier, bâtir, financer et dynamiser de nouveaux business éco-pragmatiques, écologiquement impactants, pour un monde plus vertueux.

L’objectif de Greenpact est de concrétiser des projets forts sur quatre axes : optimiser les énergies renouvelables et décarbonées, rendre la mobilité propre accessible à tous, démocratiser l’écoconstruction et basculer vers une agriculture autant qu’une alimentation durable et équitable. Pour concrétiser ces transitions écologiques et sociétales, Greenpact innove en fédérant des énergies entrepreneuriales, des moyens, des savoirs et des réseaux.

 

30 entrepreneurs et une première levée de fonds au service de projets vertueux

Greenpact annonce réunir aujourd’hui un groupe de 30 entrepreneurs dans une gouvernance collective initiée par Emmanuel Gonon, Eric Angelier et Pierre Carde puis complétée par 27 associés dont Albert Codinach, David Arfin, Laurent Fiard, Loïc Fayet, Philippe Menier, Pierre Guilhem… (liste ci-dessous).

Le startup studio a bouclé son premier tour de financement avec 1,5 millions d’euros collectés auprès de sa maison mère Waoup et des associés entrants.

Avec ses 30 entrepreneurs engagés, des expertises sont mobilisées dans ses 4 secteurs d’intervention (énergie, mobilité, construction, agriculture) et dans les métiers complémentaires comme le digital ou la finance.

« Personnellement je suis profondément engagé dans la transition alimentaire et je porte cet enjeu au sein du collectif », explique Loïc Fayet, Vice-Président du Mouvement des Cuisines Nourricières et ex Directeur R&D de Danone Nutrition Africa & Overseas.

« Au sein de Greenpact je souhaite contribuer à lancer des entreprises décarbonées, en particulier dans le secteur de la construction que je connais bien et où beaucoup reste à faire. » Ajoute Pierre Guilhem, Président co-fondateur d’AEGE Groupe, spécialiste de la construction et des réseaux d’énergies.

Le cercle des associés de Greenpact, véritable « Act Tank », se réunira tous les deux mois pour challenger les projets internes comme externes, y apporter des contributions et suggérer de nouvelles idées et de nouveaux contacts.

« Je suis très heureux d’avoir conçu et réuni ce collectif au service de la transition écologique. C’est à la fois le plus grand enjeu sociétal des 10 ans à venir et un beau terrain de transformation économique. » Commente Eric Angelier, Directeur général de Greenpact.

Créer une fabrique d'entreprises engagées pour la transition écologique

Cette première tranche sera par la suite complétée par des levées plus conséquentes pour développer l’activité de Greenpact et financer l’ensemble des projets à venir.

« Grâce à ce premier tour, nous lançons dès cette année 2 nouvelles entreprises issues de projets internes et nous en codéveloppons 4 externes. Avec nos prochaines levées nous prévoyons d’augmenter ces volumes chaque année et de donner à tous les projets les moyens de grandir. » Souligne Emmanuel Gonon, Président de Greenpact et Waoup.

La particularité du startup studio est qu’il part lancé : il hérite des talents, des projets et des actifs de Waoup dans la transition écologique. Par exemple il est maintenant actionnaire d’Ener-Pacte, une société cofondée par Waoup qui optimise de 20 % la productivité de ses clients propriétaires de centrales photovoltaïques.

« J’ai rejoint le collectif Greenpact pour contribuer avec mon expérience, mon réseau et ma vision à créer une véritable fabrique d’entreprises à impact positif. » Appuie Albert Codinach, actionnaire d’Ener-Pacte aux côtés de Waoup, Fondateur de BCM Energy et CEO de Planète OUI.

Depuis son lancement, Greenpact a déjà créé une première société qui va lancer un service de micro-mobilité innovant qui améliorera les usages et l’empreinte environnementale de la mobilité électrique urbaine. Une équipe entrepreneuriale de premier ordre est montée à bord et la commercialisation des premiers véhicules est prévue pour le premier semestre 2021.

« Je crois beaucoup dans les projets initiés par Greenpact et dans ceux que nous allons développer ensemble. Je suis d’ailleurs déjà très impliqué dans une magnifique nouvelle offre de mobilité électrique urbaine. » Commente Henri Coron, CEO de HCP Venture et ex Chief Business Development Officer de Navya Group.

Greenpact

À propos de Greenpact @Greenpact

Greenpact est un startup studio co-entrepreneur de business innovants et engagés au service des transitions écologiques. Filiale de Waoup, Greenpact réunit des entrepreneurs engagés pour initier, financer et développer des entreprises dans les énergies renouvelables, la mobilité propre, l’écoconstruction et l’agriculture durable. Greenpact crée des startups en propre et co-entreprend des projets avec des entreprises, des startup externes et des labos. Initié par Emmanuel Gonon, Eric Angelier et Pierre Carde, Greenpact compte également parmi ses associés : Albert Codinach, André May, Benoit Prunneaux, Christophe Simon, David Arfin, Emmanuel Haillot, Eric Petrotto, Henri Coron, Jean-Pascal Forly, Jean-Paul Genoux, Laurent Fiard, Loic Fayet, Nicolas Augier de Cremiers, Olivier Desmarescaux, Pascal Pénicaud, Patrick Benichou, Patrick Duba, Philippe Menier, Pierre Guilhem, Marc Puche, Priscilla de Moustier, Quentin Faucret, Sébastien Rouzaire, Stephan Galy et Vincent Roure.

À propos de Waoup@Waoup

Waoup est un startup studio co-entrepreneur de business innovants et engagés. Nous savons inventer, bâtir, financer et dynamiser de nouvelles formes de business, avec la force de l’écosystème. Waoup entreprend des startups en propre et co-entreprend des projets avec des entreprises, startups et cellules de valorisation. Ce, au sein de quatre studios thématiques : M2care (santé et nutrition), Greenpact (transitions écologiques), Induktion (transition industrielle), et Lokal (dynamisation des territoires). Créé en 2014 par Emmanuel Gonon et Hervé Kleczewski, Waoup compte aujourd‘hui 25 personnes. En 6 ans, une cinquantaine de projets ont été structurés. Dont 10 ont donné lieu à la création de start-up, en propre ou pour le compte d‘entreprises existantes.

Télécharger le communiqué de presse

Appel aux visionnaires court-termistes !

Voici les prochains défis auxquels nous nous attaquons en matière de solutions à court terme pour les entreprises industrielles en transition responsable. Faîtes-nous signe pour les relever avec nous !


Si la sobriété énergétique, ça vous enivre :

  • Comment fluidifier le financement des investissements des projets de sobriété énergétique ?
  • Comment assister les industriels dans la rénovation énergétique de leurs entreprises ?            

#inno-commerciale #inno-BusinessModel

Si la circularité vous fait tourner en rond :

  • Comment déployer des activités de réparation, de reconditionnement, de recyclage, au plus près des clients ?

#collaboration #chainedevaleur #mutualisation

Si dans « éco-conception », vous entendez éco-logique et éco-nomique :

  • Comment faciliter le remplacement de matières premières non durables par des matériaux responsables ?

#collaboration #mutualisation

Partage de Henri Coron, co-fondateur de Shaary By Wesk, pour conclure cette série de 5 épisodes : 

 

"Les indispensables d’un projet d’innovation entrepreneuriale :

1. Trouver un marché, nous l’avions identifié 

Waoup avait sourcé le micro-véhicule adapté pour développer l’autopartage dans les grandes Métropoles qui veulent désengorger le trafic urbain et trouver un complément aux Transports Publics. Le marché et la solution, nous l’avions ! 

 

2. Constituer une équipe complémentaire et efficace, nous l’avions et elle avait fait ses preuves 

 Autour de Christophe Sapet nous avons constitué une équipe qui se connaissait bien depuis Navya, qui maîtrisait à la fois la création d’entreprise et l’accession au marché potentiel, et qui devait connaître et maîtriser les enjeux de la mobilité urbaine.

 Cette équipe, nous l’avions avec Lionel Collot au service client et sourcing applications, Liyes Haddad au sourcing plateforme et maintenance, Diego Isaac au Digital Marketing à la conquête des utilisateurs, moi-même à l’obtention des labels d’autopartage et relation avec les Métropoles et Christophe Sapet au pilotage du projet financier et de la stratégie dans les choix qui se proposaient à nous.

 Nos choix de plateformes et services cochaient toutes les cases du rapport rendu par l’ADEME sur l’autopartage à mettre en place dans les Métropoles.

 

3. Le « time to market », nous pensions qu’il était imminent 

 La rapidité avec laquelle nous avons fait adhérer les primo-investisseurs, suscité l’enthousiasme des partenaires pour déployer 3 villes (Marseille, Nice etStrasbourg) et obtenu les labels à Lyon en seulement 1 an est le développement le plus rapide du marché existant à l’époque de notre lancement. Tous les feux étaient au vert : les lois votées pour la mobilité dans les Métropoles corroboraient avec notre stratégie et notre développement, la mini crise pétrolière, la montée en flèche du prix à la pompe, etc., bref « y avait plusqu’à/faut qu’on ».

 

4. Alors Pourquoi a-t-on dû arrêter Shaary by Wesk ?

 La levée de fonds prévue dans notre plan fin 2022 n’a pu se faire d’abord car le contexte économique s'est refroidi avec la guerre en Ukraine et un climat d’incertitudes s’est installé chez les investisseurs du marché.

 L’autre raison, que l’on n’avait pas vu du tout, est que les français sont «encore» très attachés à leur voiture individuelle quoiqu’il en coûte et nous n’avons pas trouvé assez vite notre marché utilisateur."

 

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With great powers comes great responsabilities

Plus que jamais, les fonctions innovation & open innovation ont l’avenir de leur organisation entre les mains. Elles doivent ouvrir la voie vers un futur enthousiasmant et impulser les nouveaux modèles qui assureront leur pérennité.
Sauf que...

80% des projets d'innovation s'arrêtent au POC

Alors oui, l’échec c’est génial : on apprend des choses…. mais l’échec a un coût !

Un projet qui s’arrête au milieu du guet c’est :
  • du cash gaspillé
  • des équipes démoralisées
  • du temps perdu
  • un futur hypothéqué

Pourquoi est-ce si dur de transformer un POC en business solide ?

Comme toujours, il y a 3 raisons…

1

C’est vraiment,
mais vraiment dur

Après le POC, absolument TOUT devient difficile… en même temps.

De la même manière qu’il y a une “vallée de la mort” à partir du TRL 4-5
-technology readiness level : lorsque la technologie est déjà suffisamment avancée pour sortir du scope de la recherche académique mais qu’elle n’est pas assez mature pour l’industrie-

… il y a une vallée de la mort pour toutes les dimensions du projet :
marketfit, conception produit, opérations, finance, team…

Si un seul chantier échoue, c’est tout le projet qui tombe à l’eau

2

Un chef de projet n'est pas un entrepreneur

Un chef de projet : a une fiche de poste précise, sait naviguer dans sa hiérarchie, a des process à respecter et plein d’autres projets à faire réussir en parallèle…
Un entrepreneur : raisonne en perte acceptable, transforme toutes les difficultés en opportunité, prend les chemins de traverses, met les mains dans le cambouis au-delà de son champ de responsabilité… et n’hésite pas à faire pivoter la vision du projet pour l’adapter aux attentes du marché

3

Le projet se retrouve seul contre tous

Plus personne ne veut soutenir le projet :
L’open inno considère qu’elle a terminé son job, le projet est encore trop risqué pour le venturing, pas assez mature pour les BU et pas compliant pour le DAF…

Et en plus personne n’est d’accord au sein du groupe : il y a conflit de gouvernance, d’orga, d’intérêts…

D’un coup le projet devient un caillou dans la chaussure pour tout le monde…
C’est tellement plus simple de tout arrêter.

Alors comment faire ?

Dérisquer le projet pas à pas en suivant un workflow entrepreneurial exigeant & rigoureux

Faire avancer toutes les dimensions du projet par sprints parallélisés de milestones clés en milestones clés
Valider les hypothèses au fil de l’eau par des aller-retours terrains-marché permanents
Piloter par les risques avec une approche effectuale
Adopter un formalisme tourné investisseur pour pouvoir décider rationnellement… en lien avec la gouvernance (GO/NOGO)

Mobiliser le meilleur moteur entrepreneurial à chaque étape de développement du projet

Engager des entrepreneurs ayant une connaissance et une expérience profonde du secteur, un réseau unique (collaborateurs, fournisseurs, clients, investisseurs…) et une détermination sans faille, qui sont des actifs centraux du projet.
Faire évoluer le leadership du projet…ceux qui conçoivent, ceux qui expérimentent, ceux qui passent à l’échelle…ont des compétences et postures très différentes.
Désynchroniser le projet des porteurs pour s’autoriser des pivots tout au long du projet.
Aligner progressivement les intérêts de l’équipe leader avec le projet.

Donner au projet l’espace nécessaire pour faire ses preuves à l’abri de l’organisation

Finances : Projeter une roadmap d’investissement pré-cablée pour les différentes phases : qu’est ce qui relève des opex vs. des capex ? de l’interne vs. de l’externe ? Qu’est-ce qui peut être mutualisé ? Quels effets de leviers activables ? …
Juridique-administratif-qualité : Créer une structure éphémère pour fonctionner hors process (contrats, achats, qualité) et sous le radar (marque blanche…) le temps de démontrer le modèle pour éviter de passer l’équivalent du budget de développement en mise en conformité…!
Physique : Sortir le projet de l’organisation physiquement pour protéger le quotidien du projet des interférences inutiles et le focaliser sur les défis à relever.
Gouvernance : Construire des passerelles entre l’interne et l’externe pour faire bénéficier le projet des actifs de l’entreprises : réseau, compétences, tech…

Ils nous ont fait confiance pour lancer leurs projets

Labeyrie – Bouygues Construction – EDF – Valeo – Carte Noire – Kronenbourg – Vicat – Seb – Bledina

On vous explique comment ça s’est passé pour eux

…et comment ça pourrait se passer pour vous
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Comment sortir vivant de la jungle du Retail en 2024 ?

Surprise ! On vous a préparé un quiz à la fin pour voir si vous avez tout suivi !
Depuis 10 ans, on accompagne des entreprises sur ce sujet. On vous livre nos meilleures astuces, ce qui a marché pour réussir un projet DtoC !

81% des consommateurs achèteront en
Direct-to-Consumer (D2C)

en 2025

Source : Etude DNG juillet 2022
Le problème... ?

Les intermédiaires
contrôlent le terrain !

Ils dévorent votre marge

Et l’inflation n’arrange rien !

Ils mettent la data client sous verrous

Et ils les exploitent !

Ils contrôlent la relation client dès les premiers abords

Et les connaissent bien mieux que vous !

Ils influencent votre image

Et ça ne joue pas en votre faveur !

Ils ne sont pas alignés avec vos convictions

Et vous éloignent du modèle responsable rêvé !

Alors concrètement, comment on s’y prend ?

La réponse qu’on entend le plus :
« Nous allons créer notre site e-commerce » C’est bien… mais pas top !

La recette magique ne fonctionne plus !

Dommage ce qui était vrai il y a 5 ans ne l’est plus !
Les raisons :
Multiplication des marques en ligne
Saturation du marché digital
Hausse des coûts d’acquisition
Difficulté à se différencier et paraitre innovant
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On vous défriche le chemin

En 5 principes
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1

Il ne suffit pas d’avoir le bon produit pour pouvoir le vendre !

Au-delà du produit, quelle serait la promesse et l’expérience client qu’aucun consommateur ne pourra refuser ? La clé pour vendre en direct réside dans la réponse à cette question ! La valeur ajoutée doit être suffisante pour justifier une rupture dans les habitudes d’achat et déchainer les foules.
2

Penser omnicanalité et rentabilité pour ratisser large

Quelle stratégie d’accès au marché ? Le digital n’est pas une finalité ; les coûts d’acquisition digitaux ont explosé dépassant ceux du physique. Le pouvoir de l’omnicanalité : tirer parti du potentiel de chaque canal, physique comme digital, pour offrir une expérience globale et toucher un maximum de cibles.
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3

L’engagement : au-delà des belles promesses, de l’action !

L’art du storytelling pour montrer son engagement, c’est fini ! Les consommateurs ne sont pas dupes. Bien au-delà de l’affichage de simples valeurs, ils attendent des actions sociétales et environnementales concrètes. Chouette ! Se passer des distributeurs intermédiaires offre des opportunités infinies pour construire un modèle plus responsable (approvisionnement, production, distribution, fin de vie…) ?
4

Pas de développement sans investissement !

Toute concrétisation et déploiement nécessite des moyens ! Mais pas d’inquiétude, investissement rime aussi avec frugalité ! Anticiper les besoins et user des super-pouvoirs entrepreneuriaux permet de dénicher les financements là où jamais on aurait pensé les trouver : levée de fonds, recherche de CAPEX externes, subventions, priorisation des budgets internes… Les utiliser avec frugalité pour dérisquer pas à pas un projet permet de maximiser le succès !
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5

Qui dit nouveau modèle de vente, dit nouveaux métiers

Se passer des distributeurs nécessite d’acquérir de nouvelles compétences comme l’acquisition client, la relation client, ou encore la logistique et distribution. Parce que seul on va plus vite mais à plusieurs on va plus loin ; Et si coopérer avec de nouveaux partenaires permettait de prendre des raccourcis et explorer de nouveaux terrains de jeux ?

QUIZ

Pour devenir incollable sur le DtoC et inspirer votre business

On vous explique comment ça s’est passé pour eux

…et comment ça pourrait se passer pour vous