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Soyons sérieux : l'industrie peut-elle être responsable ?

Catherine Berruyer (à droite) avec l'équipe qui a travaillé sur le sujet d'Anthogyr

En France, l’industrie c’est 12% du PIB national. Mais c’est aussi 20% de la consommation en énergie et 18% des émissions de GES. La question n’est donc pas de savoir si l’industrie peut être responsable : elle le doit. C’est une question de vie ou de mort.

Notre industrie se trouve à un croisement majeur de son histoire, et sous un champ de contraintes fort qui sont autant d’opportunités gigantesques ! D’un côté, les enjeux de compétitivité et de croissance sont importants. De l’autre, les défis environnementaux sont immenses. Sans oublier le rôle que joue l’industrie en termes de souveraineté, de cohésion sociale et territoriale. On ne pourra donc pas réindustrialiser en France sans que les critères de responsabilité et de durabilité soient des impératifs. Pour ce faire, les entreprises industrielles peuvent agir en deux temps : à court terme avec des actions immédiates, et à moyen/long terme avec des solutions de rupture qui requièrent des phases de R&D avant d’arriver sur un marché.


À court-terme d’abord, il s’agit de travailler sur sa sobriété – voire sa frugalité.

D’autant que se serrer la ceinture énergétique, c’est aussi très bon pour la ligne économique, les impacts favorables sur la marge étant rapidement visibles. Autre incontournable, pivoter vers de nouveaux business models performants et responsables : fonctionnels, collaboratifs, circulaires, inclusifs, locaux. Lesquels, en plus de développer le revenu, la croissance et améliorer la marge, répondent aux nouvelles attentes des clients. Pas mal non ?

À moyen/long terme ensuite, l’enjeu est de mobiliser des ruptures technologiques au service des marchés.

C’est ainsi que Waoup et Greenpact – startup studio dédié aux transitions écologiques, réunissent depuis 2 ans une équipe remarquable qui développe déjà des projets #deeptech exceptionnels.Et de très bonnes nouvelles arrivent prochainement

Bien sûr, quand on pense industrie responsable ou transition énergétique, on espère tous voir rapidement émerger de nouvelles technologies qui changeront la donne. Mais les études nous disent aussi que la réalisation de 60% de nos objectifs de décarbonation doivent venir de solutions à court terme. En clair, il nous faut d’abord être plus sobres et pivoter vers des business models responsables. Alors pour ces enjeux à court terme, il faut maintenant accélérer la fourniture de solutions « quick win ». C’est urgent, massif et critique !

Un modèle de startup studio dédié aux leviers à court terme, s’appuyant sur des briques techno déjà existantes, a un rôle à jouer dans cette dynamique collective et doit apporter sa pierre à l’édifice en complément des initiatives déjà lancées.

WAOUP est un startup studio à impact positif, engagé depuis 8 ans dans l’accélération des transitions vers une économie plus performante et plus responsable.


Ainsi, WAOUP et son écosystème Greenpact propose de lancer une branche dédiée aux solutions à court terme pour l’industrie responsable.

Cette nouvelle branche aurait pour mission de proposer rapidement aux industriels des solutions à impacts positifs mesurables sur un temps court. Des solutions simples et rapides à mettre en œuvre, à l’image de l’une de nos pépites - ENER-PACTE, qui propose une assurance performance pour les centrales photovoltaïques des industriels (entre autres) et génère déjà +27% d’électricité et +60% de rentabilité.


Nous sommes convaincus qu’il faut animer une démarche de co-construction avec les entreprises industrielles, les entrepreneurs, les investisseurs, les réseaux, les pôles, les fournisseurs de technologies... Partir des défis perçus sur le terrain. Orienter vers les solutions si elles sont satisfaisantes. En créer de nouvelles sinon.

Télécharger le communiqué de presse

Appel aux visionnaires court-termistes !

Voici les prochains défis auxquels nous nous attaquons en matière de solutions à court terme pour les entreprises industrielles en transition responsable. Faîtes-nous signe pour les relever avec nous !


Si la sobriété énergétique, ça vous enivre :

  • Comment fluidifier le financement des investissements des projets de sobriété énergétique ?
  • Comment assister les industriels dans la rénovation énergétique de leurs entreprises ?            

#inno-commerciale #inno-BusinessModel

Si la circularité vous fait tourner en rond :

  • Comment déployer des activités de réparation, de reconditionnement, de recyclage, au plus près des clients ?

#collaboration #chainedevaleur #mutualisation

Si dans « éco-conception », vous entendez éco-logique et éco-nomique :

  • Comment faciliter le remplacement de matières premières non durables par des matériaux responsables ?

#collaboration #mutualisation

Partage de Henri Coron, co-fondateur de Shaary By Wesk, pour conclure cette série de 5 épisodes : 

 

"Les indispensables d’un projet d’innovation entrepreneuriale :

1. Trouver un marché, nous l’avions identifié 

Waoup avait sourcé le micro-véhicule adapté pour développer l’autopartage dans les grandes Métropoles qui veulent désengorger le trafic urbain et trouver un complément aux Transports Publics. Le marché et la solution, nous l’avions ! 

 

2. Constituer une équipe complémentaire et efficace, nous l’avions et elle avait fait ses preuves 

 Autour de Christophe Sapet nous avons constitué une équipe qui se connaissait bien depuis Navya, qui maîtrisait à la fois la création d’entreprise et l’accession au marché potentiel, et qui devait connaître et maîtriser les enjeux de la mobilité urbaine.

 Cette équipe, nous l’avions avec Lionel Collot au service client et sourcing applications, Liyes Haddad au sourcing plateforme et maintenance, Diego Isaac au Digital Marketing à la conquête des utilisateurs, moi-même à l’obtention des labels d’autopartage et relation avec les Métropoles et Christophe Sapet au pilotage du projet financier et de la stratégie dans les choix qui se proposaient à nous.

 Nos choix de plateformes et services cochaient toutes les cases du rapport rendu par l’ADEME sur l’autopartage à mettre en place dans les Métropoles.

 

3. Le « time to market », nous pensions qu’il était imminent 

 La rapidité avec laquelle nous avons fait adhérer les primo-investisseurs, suscité l’enthousiasme des partenaires pour déployer 3 villes (Marseille, Nice etStrasbourg) et obtenu les labels à Lyon en seulement 1 an est le développement le plus rapide du marché existant à l’époque de notre lancement. Tous les feux étaient au vert : les lois votées pour la mobilité dans les Métropoles corroboraient avec notre stratégie et notre développement, la mini crise pétrolière, la montée en flèche du prix à la pompe, etc., bref « y avait plusqu’à/faut qu’on ».

 

4. Alors Pourquoi a-t-on dû arrêter Shaary by Wesk ?

 La levée de fonds prévue dans notre plan fin 2022 n’a pu se faire d’abord car le contexte économique s'est refroidi avec la guerre en Ukraine et un climat d’incertitudes s’est installé chez les investisseurs du marché.

 L’autre raison, que l’on n’avait pas vu du tout, est que les français sont «encore» très attachés à leur voiture individuelle quoiqu’il en coûte et nous n’avons pas trouvé assez vite notre marché utilisateur."

 

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With great powers comes great responsabilities

Plus que jamais, les fonctions innovation & open innovation ont l’avenir de leur organisation entre les mains. Elles doivent ouvrir la voie vers un futur enthousiasmant et impulser les nouveaux modèles qui assureront leur pérennité.
Sauf que...

80% des projets d'innovation s'arrêtent au POC

Alors oui, l’échec c’est génial : on apprend des choses…. mais l’échec a un coût !

Un projet qui s’arrête au milieu du guet c’est :
  • du cash gaspillé
  • des équipes démoralisées
  • du temps perdu
  • un futur hypothéqué

Pourquoi est-ce si dur de transformer un POC en business solide ?

Comme toujours, il y a 3 raisons…

1

C’est vraiment,
mais vraiment dur

Après le POC, absolument TOUT devient difficile… en même temps.

De la même manière qu’il y a une “vallée de la mort” à partir du TRL 4-5
-technology readiness level : lorsque la technologie est déjà suffisamment avancée pour sortir du scope de la recherche académique mais qu’elle n’est pas assez mature pour l’industrie-

… il y a une vallée de la mort pour toutes les dimensions du projet :
marketfit, conception produit, opérations, finance, team…

Si un seul chantier échoue, c’est tout le projet qui tombe à l’eau

2

Un chef de projet n'est pas un entrepreneur

Un chef de projet : a une fiche de poste précise, sait naviguer dans sa hiérarchie, a des process à respecter et plein d’autres projets à faire réussir en parallèle…
Un entrepreneur : raisonne en perte acceptable, transforme toutes les difficultés en opportunité, prend les chemins de traverses, met les mains dans le cambouis au-delà de son champ de responsabilité… et n’hésite pas à faire pivoter la vision du projet pour l’adapter aux attentes du marché

3

Le projet se retrouve seul contre tous

Plus personne ne veut soutenir le projet :
L’open inno considère qu’elle a terminé son job, le projet est encore trop risqué pour le venturing, pas assez mature pour les BU et pas compliant pour le DAF…

Et en plus personne n’est d’accord au sein du groupe : il y a conflit de gouvernance, d’orga, d’intérêts…

D’un coup le projet devient un caillou dans la chaussure pour tout le monde…
C’est tellement plus simple de tout arrêter.

Alors comment faire ?

Dérisquer le projet pas à pas en suivant un workflow entrepreneurial exigeant & rigoureux

Faire avancer toutes les dimensions du projet par sprints parallélisés de milestones clés en milestones clés
Valider les hypothèses au fil de l’eau par des aller-retours terrains-marché permanents
Piloter par les risques avec une approche effectuale
Adopter un formalisme tourné investisseur pour pouvoir décider rationnellement… en lien avec la gouvernance (GO/NOGO)

Mobiliser le meilleur moteur entrepreneurial à chaque étape de développement du projet

Engager des entrepreneurs ayant une connaissance et une expérience profonde du secteur, un réseau unique (collaborateurs, fournisseurs, clients, investisseurs…) et une détermination sans faille, qui sont des actifs centraux du projet.
Faire évoluer le leadership du projet…ceux qui conçoivent, ceux qui expérimentent, ceux qui passent à l’échelle…ont des compétences et postures très différentes.
Désynchroniser le projet des porteurs pour s’autoriser des pivots tout au long du projet.
Aligner progressivement les intérêts de l’équipe leader avec le projet.

Donner au projet l’espace nécessaire pour faire ses preuves à l’abri de l’organisation

Finances : Projeter une roadmap d’investissement pré-cablée pour les différentes phases : qu’est ce qui relève des opex vs. des capex ? de l’interne vs. de l’externe ? Qu’est-ce qui peut être mutualisé ? Quels effets de leviers activables ? …
Juridique-administratif-qualité : Créer une structure éphémère pour fonctionner hors process (contrats, achats, qualité) et sous le radar (marque blanche…) le temps de démontrer le modèle pour éviter de passer l’équivalent du budget de développement en mise en conformité…!
Physique : Sortir le projet de l’organisation physiquement pour protéger le quotidien du projet des interférences inutiles et le focaliser sur les défis à relever.
Gouvernance : Construire des passerelles entre l’interne et l’externe pour faire bénéficier le projet des actifs de l’entreprises : réseau, compétences, tech…

Ils nous ont fait confiance pour lancer leurs projets

Labeyrie – Bouygues Construction – EDF – Valeo – Carte Noire – Kronenbourg – Vicat – Seb – Bledina

On vous explique comment ça s’est passé pour eux

…et comment ça pourrait se passer pour vous
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Comment sortir vivant de la jungle du Retail en 2024 ?

Surprise ! On vous a préparé un quiz à la fin pour voir si vous avez tout suivi !
Depuis 10 ans, on accompagne des entreprises sur ce sujet. On vous livre nos meilleures astuces, ce qui a marché pour réussir un projet DtoC !

81% des consommateurs achèteront en
Direct-to-Consumer (D2C)

en 2025

Source : Etude DNG juillet 2022
Le problème... ?

Les intermédiaires
contrôlent le terrain !

Ils dévorent votre marge

Et l’inflation n’arrange rien !

Ils mettent la data client sous verrous

Et ils les exploitent !

Ils contrôlent la relation client dès les premiers abords

Et les connaissent bien mieux que vous !

Ils influencent votre image

Et ça ne joue pas en votre faveur !

Ils ne sont pas alignés avec vos convictions

Et vous éloignent du modèle responsable rêvé !

Alors concrètement, comment on s’y prend ?

La réponse qu’on entend le plus :
« Nous allons créer notre site e-commerce » C’est bien… mais pas top !

La recette magique ne fonctionne plus !

Dommage ce qui était vrai il y a 5 ans ne l’est plus !
Les raisons :
Multiplication des marques en ligne
Saturation du marché digital
Hausse des coûts d’acquisition
Difficulté à se différencier et paraitre innovant
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On vous défriche le chemin

En 5 principes
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1

Il ne suffit pas d’avoir le bon produit pour pouvoir le vendre !

Au-delà du produit, quelle serait la promesse et l’expérience client qu’aucun consommateur ne pourra refuser ? La clé pour vendre en direct réside dans la réponse à cette question ! La valeur ajoutée doit être suffisante pour justifier une rupture dans les habitudes d’achat et déchainer les foules.
2

Penser omnicanalité et rentabilité pour ratisser large

Quelle stratégie d’accès au marché ? Le digital n’est pas une finalité ; les coûts d’acquisition digitaux ont explosé dépassant ceux du physique. Le pouvoir de l’omnicanalité : tirer parti du potentiel de chaque canal, physique comme digital, pour offrir une expérience globale et toucher un maximum de cibles.
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3

L’engagement : au-delà des belles promesses, de l’action !

L’art du storytelling pour montrer son engagement, c’est fini ! Les consommateurs ne sont pas dupes. Bien au-delà de l’affichage de simples valeurs, ils attendent des actions sociétales et environnementales concrètes. Chouette ! Se passer des distributeurs intermédiaires offre des opportunités infinies pour construire un modèle plus responsable (approvisionnement, production, distribution, fin de vie…) ?
4

Pas de développement sans investissement !

Toute concrétisation et déploiement nécessite des moyens ! Mais pas d’inquiétude, investissement rime aussi avec frugalité ! Anticiper les besoins et user des super-pouvoirs entrepreneuriaux permet de dénicher les financements là où jamais on aurait pensé les trouver : levée de fonds, recherche de CAPEX externes, subventions, priorisation des budgets internes… Les utiliser avec frugalité pour dérisquer pas à pas un projet permet de maximiser le succès !
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5

Qui dit nouveau modèle de vente, dit nouveaux métiers

Se passer des distributeurs nécessite d’acquérir de nouvelles compétences comme l’acquisition client, la relation client, ou encore la logistique et distribution. Parce que seul on va plus vite mais à plusieurs on va plus loin ; Et si coopérer avec de nouveaux partenaires permettait de prendre des raccourcis et explorer de nouveaux terrains de jeux ?

QUIZ

Pour devenir incollable sur le DtoC et inspirer votre business

On vous explique comment ça s’est passé pour eux

…et comment ça pourrait se passer pour vous

Soyons sérieux : l'industrie peut-elle être responsable ?

Catherine Berruyer (à droite) avec l'équipe qui a travaillé sur le sujet d'Anthogyr

En France, l’industrie c’est 12% du PIB national. Mais c’est aussi 20% de la consommation en énergie et 18% des émissions de GES. La question n’est donc pas de savoir si l’industrie peut être responsable : elle le doit. C’est une question de vie ou de mort.

Notre industrie se trouve à un croisement majeur de son histoire, et sous un champ de contraintes fort qui sont autant d’opportunités gigantesques ! D’un côté, les enjeux de compétitivité et de croissance sont importants. De l’autre, les défis environnementaux sont immenses. Sans oublier le rôle que joue l’industrie en termes de souveraineté, de cohésion sociale et territoriale. On ne pourra donc pas réindustrialiser en France sans que les critères de responsabilité et de durabilité soient des impératifs. Pour ce faire, les entreprises industrielles peuvent agir en deux temps : à court terme avec des actions immédiates, et à moyen/long terme avec des solutions de rupture qui requièrent des phases de R&D avant d’arriver sur un marché.


À court-terme d’abord, il s’agit de travailler sur sa sobriété – voire sa frugalité.

D’autant que se serrer la ceinture énergétique, c’est aussi très bon pour la ligne économique, les impacts favorables sur la marge étant rapidement visibles. Autre incontournable, pivoter vers de nouveaux business models performants et responsables : fonctionnels, collaboratifs, circulaires, inclusifs, locaux. Lesquels, en plus de développer le revenu, la croissance et améliorer la marge, répondent aux nouvelles attentes des clients. Pas mal non ?

À moyen/long terme ensuite, l’enjeu est de mobiliser des ruptures technologiques au service des marchés.

C’est ainsi que Waoup et Greenpact – startup studio dédié aux transitions écologiques, réunissent depuis 2 ans une équipe remarquable qui développe déjà des projets #deeptech exceptionnels.Et de très bonnes nouvelles arrivent prochainement

Bien sûr, quand on pense industrie responsable ou transition énergétique, on espère tous voir rapidement émerger de nouvelles technologies qui changeront la donne. Mais les études nous disent aussi que la réalisation de 60% de nos objectifs de décarbonation doivent venir de solutions à court terme. En clair, il nous faut d’abord être plus sobres et pivoter vers des business models responsables. Alors pour ces enjeux à court terme, il faut maintenant accélérer la fourniture de solutions « quick win ». C’est urgent, massif et critique !

Un modèle de startup studio dédié aux leviers à court terme, s’appuyant sur des briques techno déjà existantes, a un rôle à jouer dans cette dynamique collective et doit apporter sa pierre à l’édifice en complément des initiatives déjà lancées.

WAOUP est un startup studio à impact positif, engagé depuis 8 ans dans l’accélération des transitions vers une économie plus performante et plus responsable.


Ainsi, WAOUP et son écosystème Greenpact propose de lancer une branche dédiée aux solutions à court terme pour l’industrie responsable.

Cette nouvelle branche aurait pour mission de proposer rapidement aux industriels des solutions à impacts positifs mesurables sur un temps court. Des solutions simples et rapides à mettre en œuvre, à l’image de l’une de nos pépites - ENER-PACTE, qui propose une assurance performance pour les centrales photovoltaïques des industriels (entre autres) et génère déjà +27% d’électricité et +60% de rentabilité.


Nous sommes convaincus qu’il faut animer une démarche de co-construction avec les entreprises industrielles, les entrepreneurs, les investisseurs, les réseaux, les pôles, les fournisseurs de technologies... Partir des défis perçus sur le terrain. Orienter vers les solutions si elles sont satisfaisantes. En créer de nouvelles sinon.

Appel aux visionnaires court-termistes !

Voici les prochains défis auxquels nous nous attaquons en matière de solutions à court terme pour les entreprises industrielles en transition responsable. Faîtes-nous signe pour les relever avec nous !


Si la sobriété énergétique, ça vous enivre :

  • Comment fluidifier le financement des investissements des projets de sobriété énergétique ?
  • Comment assister les industriels dans la rénovation énergétique de leurs entreprises ?            

#inno-commerciale #inno-BusinessModel

Si la circularité vous fait tourner en rond :

  • Comment déployer des activités de réparation, de reconditionnement, de recyclage, au plus près des clients ?

#collaboration #chainedevaleur #mutualisation

Si dans « éco-conception », vous entendez éco-logique et éco-nomique :

  • Comment faciliter le remplacement de matières premières non durables par des matériaux responsables ?

#collaboration #mutualisation

Partage de Henri Coron, co-fondateur de Shaary By Wesk, pour conclure cette série de 5 épisodes : 

 

"Les indispensables d’un projet d’innovation entrepreneuriale :

1. Trouver un marché, nous l’avions identifié 

Waoup avait sourcé le micro-véhicule adapté pour développer l’autopartage dans les grandes Métropoles qui veulent désengorger le trafic urbain et trouver un complément aux Transports Publics. Le marché et la solution, nous l’avions ! 

 

2. Constituer une équipe complémentaire et efficace, nous l’avions et elle avait fait ses preuves 

 Autour de Christophe Sapet nous avons constitué une équipe qui se connaissait bien depuis Navya, qui maîtrisait à la fois la création d’entreprise et l’accession au marché potentiel, et qui devait connaître et maîtriser les enjeux de la mobilité urbaine.

 Cette équipe, nous l’avions avec Lionel Collot au service client et sourcing applications, Liyes Haddad au sourcing plateforme et maintenance, Diego Isaac au Digital Marketing à la conquête des utilisateurs, moi-même à l’obtention des labels d’autopartage et relation avec les Métropoles et Christophe Sapet au pilotage du projet financier et de la stratégie dans les choix qui se proposaient à nous.

 Nos choix de plateformes et services cochaient toutes les cases du rapport rendu par l’ADEME sur l’autopartage à mettre en place dans les Métropoles.

 

3. Le « time to market », nous pensions qu’il était imminent 

 La rapidité avec laquelle nous avons fait adhérer les primo-investisseurs, suscité l’enthousiasme des partenaires pour déployer 3 villes (Marseille, Nice etStrasbourg) et obtenu les labels à Lyon en seulement 1 an est le développement le plus rapide du marché existant à l’époque de notre lancement. Tous les feux étaient au vert : les lois votées pour la mobilité dans les Métropoles corroboraient avec notre stratégie et notre développement, la mini crise pétrolière, la montée en flèche du prix à la pompe, etc., bref « y avait plusqu’à/faut qu’on ».

 

4. Alors Pourquoi a-t-on dû arrêter Shaary by Wesk ?

 La levée de fonds prévue dans notre plan fin 2022 n’a pu se faire d’abord car le contexte économique s'est refroidi avec la guerre en Ukraine et un climat d’incertitudes s’est installé chez les investisseurs du marché.

 L’autre raison, que l’on n’avait pas vu du tout, est que les français sont «encore» très attachés à leur voiture individuelle quoiqu’il en coûte et nous n’avons pas trouvé assez vite notre marché utilisateur."

 

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Bonne lecture ;)
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